Chap. N° 19

La lunette astronomique

Exercices

Cours.


 
 

 

Exercices :

Préparation de L'ECE :

DS

1)- Exercice 02 page 396 : Reconnaitre la schématisation d’une lunette afocale.

2)- Exercice 04 page 396 : Identifier un faisceau lumineux.

3)- Exercice 06 page 397 : Représenter le faisceau émergeant d’une lentille afocale.

4)- Exercice 09 page 397 : Tracer l’image d’un objet situé à l’infini

5)- Exercice 11 page 398 :  établir le grossissement d’une lunette afocale.

6)- Exercice 15 page 398 :Trajet d’un faisceau lumineux.

7)- Exercice 16 page 399 : Lunette de laboratoire.

8)- Exercice 20 page 400 : l’étoile Albireo.

9)- Exercice 24 page 402 : DS N° 01 Grossissement et œil réduit (40 min)

10)- Exercice 25 page 403 : DS N° 02 Et la lumière fut (40 min).

11)- Préparation à l’ECE : réalisation d’une lunette astronomique.

 

QCM réalisé avec le logiciel Questy

Pour s'auto-évaluer

La lunette astronomique.

Construction du faisceau traversant une lunette afocale.

Le grossissement d’une lunette afocale

Sous forme de tableau

 

1)- Exercice 02 page 396 : Reconnaitre la schématisation d’une lunette afocale  :

Quelle est la schématisation correcte d’une lunette afocale parmi celles-ci-dessous ?

Justifier votre choix.

a.   

 

b.   

  

c.   

 

Schéma correct d’une lunette afocale :

-  Une lunette est afocale lorsque le foyer principal image de l’objectif coïncide avec le foyer principal objet de l’oculaire.

  Le schéma correct est le schéma a.

 

-  Les foyers objet F2 et image F1 sont confondus.

-  L’image A’’B’’ se trouve à l’infini et un œil normal peut observer cette image sans accommoder.

-  Dans ce cas, la lumière traverse l’objectif, puis l’oculaire

  Le schéma ne b. ne convient pas. La lunette n’est pas afocale.

 

-  L’image ne se forme pas à l’infini.

-  L’œil doit accommoder pour observer l’image A’’B’’.

  Pour le schéma c., l’objectif et l’oculaire sont inversés.

-  Dans ce cas, la lumière traverse l’oculaire, puis l’objectif.

-  Ce schéma ne convient pas.

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2)- Exercice 04 page 396 : Identifier un faisceau lumineux :

Identifier un faisceau lumineux :

1.  Quelle est la schématisation représentant correctement le faisceau lumineux issu d’un point B situé à l’infini

et qui éclaire une lentille mince convergente parmi les propositions ci-dessous ? Justifier votre choix.

a.   

 

b.   

 

c.   

 

Identifier un faisceau lumineux :

1.  Schématisation du faisceau lumineux issu d’un point B situé à l’infini :

a.  La bonne configuration est la b.

-  Les rayons provenant du point B situé à l’infini sont parallèles.

-  Tracé :

 

-  On trace le plan focal image (perpendiculaire à Δ issue de F1).

-  On trace le rayon lumineux parallèle au rayon 1 passant par le centre optique.

-  Ce rayon n’est pas dévié. Il vient couper le plan focal image au point H.

-  Les rayons qui émergent des bords de la lentille viennent converger au point H.

-  Le rayon parallèle au rayon 1 passant par le foyer image F1 émerge de la lentille parallèlement à l’axe optique.

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3)- Exercice 06 page 397 : Représenter le faisceau émergeant d’une lentille afocale :

Représenter le faisceau émergeant d’une lentille afocale :

 

On a schématisé ci-dessous une lunette astronomique afocale modélisée par deux lentilles minces convergentes.

On a représenté le faisceau lumineux issu d’un point objet B situé à l’infini éclairant l’objectif de la lunette.

Schéma :

 

-  Reproduire le schéma et représenter le faisceau émergent issu du point B après traversée de cette lunette.

 

 

Représenter le faisceau émergeant d’une lentille afocale :

-  Schéma de la situation :

 

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4)-  Exercice 09 page 397 : Tracer l’image d’un objet situé à l’infini.

Tracer l’image d’un objet situé à l’infini :

 

On a représenté, sur le schéma ci-dessous, l’image A1B1 d’un objet AB situé à l’infini donnée

par l’objectif d’une lunette afocale. A1B1 devient un objet pour l’oculaire.

 

Reproduire le schéma et le compléter avec les deux rayons émergeant de l’oculaire.

 

Tracer l’image d’un objet situé à l’infini :

 

-  Schéma complété avec les deux rayons émergeant de l’oculaire :

-  L’angle θ = 10 ° pour que le tracé soit plus facile.

-  Le rayon rouge qui est parallèle à l’axe optique émerge de l’oculaire en passant par le foyer image F2.

-  Le rayon bleu émerge de l’oculaire parallèlement au rayon rouge.

 

 

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5)- Exercice 11 page 398 :  Établir le grossissement d’une lunette afocale :

Établir le grossissement d’une lunette afocale

 

On a représenté ci-dessous le schéma d’une lentille afocale.

 

1.  Justifier que  

2.  Exprimer tan θ’ en fonction de A1B1 et O2F2.

3.  Les angles θ et θ’ étant petits, exprimer le grossissement G en fonction de f1 et f2.

 

 

Établir le grossissement d’une lunette afocale

 

1.  Justification que

-  Considérons le triangle O1A1B1 rectangle en A1 :

 

ZOOM

 

-  Les points F2, F1 et A1 sont confondus.

-   

2.  Expression de tan θ’ en fonction de A1B1 et O2F2.

-  Considérons le triangle O2A1B1 rectangle en A1 :

 

-  Les points F2, F1 et A1 sont confondus.

- 

3.  Expression du grossissement G en fonction de f1 et f2.

-  Les angles θ et θ’ étant petits,

-  tan θθ et tan θ’ ≈ θ

-  Définition du grossissement :

-  Le grossissement d’une lunette est le rapport entre :

-  L’angle θ sous lequel l’objet est vu à l’œil nu et

-  L’angle θ’ sous lequel son image est vue à travers la lunette.

-  Ainsi l’objet éloigné (B ∞) est vu sous l’angle θ et l’image AB’ est vue sous l’angle θ’.

-  Le grossissement G d’une lunette est donné par la relation suivante :

 

G

Grossissement : nombre sans unité

θ

L’angle θ’ sous lequel l'image est vue à travers la lunette

θ

L’angle θ sous lequel l’objet est vu à l’œil nu

Il faut exprimer θ’ et θ dans la même unité d’angle (° ou rad)

-  Avec l’approximation précédente :

-   

-  On obtient la relation suivante :

-   

-   

-  Quelques valeurs :

-  Pour des raisons de commodité pour le tracé, on a pris pour angle θ = 8,0 °

 

-  Grossissement :

-   

-  D’autre part, pour les petits angles :

-   

-  Dans ce cas, on ne peut pas faire l’approximation des petits angles.

-  Maintenant, si on prend comme angle θ = 2,0 °

-  Alors :

-  A1B1 = f1 × tan θ

-  A1B1 = 8,0 × tan 2,0

-  A1B1 ≈ 0,28 cm

-  Calcul de θ

-   

-  Grossissement :

- 

-  Dans ce cas, on peut faire l’approximation des petits angles.

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6)- Exercice 15 page 398 :Trajet d’un faisceau lumineux :

Trajet d’un faisceau lumineux :

 

On a représenté ci-dessous un faisceau lumineux délimité par deux rayons issus d’un point objet B situé à l’infini.

Ces rayons arrivent sur une lentille mince convergente modélisant l’objectif d’une lunette astronomique afocale.

 

L’objectif a une distance focale f1 = 20 cm et la lentille oculaire, non représentée, a une distance focale f2 = 5,0 cm.

1.  Reproduire le schéma de cette lunette astronomique afocale en prenant l’échelle 1,0 cm sur le schéma pour 5,0 cm dans la réalité.

2.  Où le point B est-il situé ?

3.   :

a.  Où l’image intermédiaire B1 du point B à travers l’objectif de la lunette se forme-t-elle ?

b.  Le plan perpendiculaire à l’axe optique qui contient B1 est le plan focal image de l’objectif et également le plan focal objet de l’oculaire.

Justifier l’expression « plan focal ».

4.  Tracer le trajet du faisceau lumineux entre la lentille et l’oculaire.

5.   :

a.  Où l’image finale B’ de B1 donnée par l’oculaire se forme -t-elle ?

b.  Comment les rayons émergent-ils de l’oculaire ?

c.  Prolonger le faisceau émergeant de la lunette astronomique ?

 

Trajet d’un faisceau lumineux :

 

L’objectif a une distance focale f1 = 20 cm et la lentille oculaire, non représentée, a une distance focale f2 = 5,0 cm.

-  Remarque : pour que le tracé soit plus facile, on choisit comme diamètre apparent de l’objet B situé à l’infini : θ = 5,0 °

1.  Schéma de cette lunette astronomique afocale.

-  Échelle : 1,0 cm sur le schéma pour 2,5 cm dans la réalité :

 

2.  Position du point B

-  Énoncé : « On a représenté ci-dessous un faisceau lumineux délimité par deux rayons issus d’un point objet B situé à l’infini ».

-  Le point B est situé à l’infini (B ∞).

3.  :

a.  Position de l’image intermédiaire B1 du point B à travers l’objectif :

-  Comme le point B est situé à l’infini, l’image B1 se forme dans le plan focal image.

-  C’est le point d’intersection du rayon parallèle au rayon incident passant par le centre optique O1 et le plan focal image P1.

-  Plan focal image : Plan perpendiculaire à l’axe optique contenant le foyer image F1.

-  La distance O1A1 = f1 = 20 cm

-  Schéma :

 

b.  Expression « plan focal ».

-  Le plan perpendiculaire à l’axe optique qui contient B1 est le plan focal image de l’objectif et également le plan focal objet de l’oculaire.

-  On distingue le plan focal image et le plan focal objet.

-  Pour l’objectif :

-  Plan focal objet : Plan perpendiculaire à l’axe optique contenant le foyer objet F1.

-  Plan focal image : Plan perpendiculaire à l’axe optique contenant le foyer image F1.

-  Tout faisceau parallèle arrivant sur la lentille convergente, converge en un point du plan focal image.

4.  Trajet du faisceau lumineux entre la lentille et l’oculaire.

-  Schéma :

 

5.   :

a.  Position de l’image finale B’ de B1 donnée par l’oculaire :

-  Schéma :

 

-  L’image de forme à l’infini.

-  Elle est virtuelle et l’œil peut observer sans accommoder.

b.  Rayons émergeant de l’oculaire :

-  Schéma :

 

c.  Faisceau émergeant de la lunette astronomique :

-  Le faisceau émergeant de la lunette astronomique est un faisceau de rayons parallèles.

 

-  Les différentes valeurs :

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7)- Exercice 16 page 399 : Lunette de laboratoire :

Lunette de laboratoire :

 

On réalise une maquette d’une lunette astronomique afocale à l’aide de deux lentilles convergentes L1 et L2 afin d’observer la Lune.

 

On choisit deux points A et B diamétralement opposés, l’objet AB ainsi défini est considéré à l’infini.

On a représenté, sur le schéma à l’échelle ci-dessous, les deux lentilles, ainsi que l’image intermédiaire A1B1 de la Lune donnée par l’objectif.

 

1.  Reproduire la figure sur papier millimétré et tracer le trajet de deux rayons issus du point objet B.

2.  Représenter sur la figure l’angle θ sous lequel on voit la Lune à l’œil nu. Le calculer.

3.  Calculer la distance Terre-Lune sachant que le diamètre de la Lune est D = 3,47 × 103 km.

4.  Sous quel angle θ’ l’image de la Lune donnée par la lunette est-elle vue ?

 

 

Lunette de laboratoire :

-  Exploitation du schéma :

 

Les mesures ont été réalisées avec Word (200 %)

-  L’objet B se situe à l’infini et la Lunette astronomique est afocale :

-  En conséquence, F1F2 et le point image A1 sont confondus.

-  Les distances : 

-  Distance focale de l’objectif : O1F1 = f1 ≈ 50 cm

-  Distance focale de l’oculaire : O2F2 = f2 ≈ 12,5 cm

-  Taille de l’image intermédiaire A1B1 :

Réel

0,43 cm

1,0 cm

Schéma

2,0 mm

A1B1

-  A1B1 ≈ 4,65 mm

-  A1B1 ≈ 4,7 mm

-  On est en présence d’une image réelle renversée.

-  On trace les points suivants :

-  F1 : Le foyer objet de la lentille L1

-  F1 est le symétrique de F1 par rapport au centre optique O1.

-  F2 : Le foyer image de la lentille L2

-  F2 est le symétrique de F2 par rapport au centre optique O2.

 

1.  Reproduction la figure et tracé du trajet de deux rayons issus du point objet B.

-  Schéma :

 

Le tracé a été réalisé avec Word (200 %)

-  On trace le rayon provenant du point B situé à l’infini qui passe par le centre optique O1 de la lentille L1

et le point image B1 et qui n’est pas dévié.

-  On trace le rayon provenant du point B situé à l’infini qui passe par le foyer objet F1 de la lentille L1,

parallèle au rayon précédent, et qui émerge de la lentille parallèlement à l’axe optique Δ.

-  Les deux rayons convergent au point image B1.

-  Le rayon rouge est parallèle à l’axe optique, il émerge de la lentille L2 en passant par son foyer image F2.

-  Comme le point B1 est situé dans le plan focal objet de la lentille L2,

le rayon vert émerge de cette lentille parallèlement au rayon rouge.

2.  Angle θ sous lequel on voit la Lune à l’œil nu et sa valeur :

-  Schéma :

 

-  Considérons le triangle O1A1B1 rectangle en A1 :

 

-   

3.  Distance Terre-Lune :

-  Diamètre de la Lune : D = 3,47 × 103 km

-  Schéma :

 

-   

-  Application numérique :

-   

-  La distance dTerre-Lune entre la Terre et la Lune varie au cours du temps :

-  3,56 × 105 km ≤ dTerre-Lune ≤ 4,06 × 105 km

-  La valeur trouvée appartient à l’intervalle.

4.  Angle θ’ sous lequel l’image de la Lune est vue à travers la lunette :

-  Pour faire apparaître l‘angle θ’, il faut tracer le rayon issu de B1 et passant par le centre optique O2 de l’oculaire.

-  Ce rayon n’est pas dévié (rayon fuchsia).

 

-   

-  On peut calculer le grossissement de cette lunette laboratoire :

 

G

Grossissement : nombre sans unité

θ

L’angle θ’ son image est vue à travers la lunette

θ

L’angle θ sous lequel l’objet est vu à l’œil nu

Il faut exprimer θ’ et θ dans la même unité d’angle (° ou rad)

-  Comment les angles θ et θ’ sont petits, on peut faire l’approximation des petits angles :

-   

-  Autre relation :

-  Grossissement d’une lentille afocale :

 

G

Grossissement : nombre sans unité

f1

Distance focale de l’objectif

f2

Distance focale de l’oculaire.

Il faut exprimer f1 et f2 dans la même unité (m, cm, mm, …)

-   

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8)- Exercice 20 page 400 : L’étoile Albireo :

L’étoile Albireo :

 

L’étoile d’Albireo de la constellation du Cygne est une étoile double.

Ces deux étoiles sont vues à l’œil nu, depuis la Terre sous un angle de 34 secondes d’arc.

 

A.  Fiche technique d’une lunette astronomique afocale.

Focale de l’objectif

700 mm

Diamètre de l’objectif

70 mm

Masse du tube

1,45 kg

2 oculaires interchangeables

10 mm et 25 mm

1 trépied réglable

Hauteur de 67 cm à 119 cm

B.  Le pouvoir séparateur de l’œil.

Le pouvoir séparateur de l’œil est l’angle minimal ε sous lequel deux points lumineux peuvent être vus séparés.

Pour un œil humain normal, ε =3,0 × 10–4 rad.

Ainsi, deux points lumineux distincts, vus sous un angle inférieur à 3,0 × 10–4 rad,

sont perçus comme un seul point lumineux.

1.  Exprimer, en radian, l’angle θ sous lequel l’étoile double Albireo est vue à l’œil nu.

2.   :

a.  Établir l’expression du grossissement d’une lunette afocale. On pourra s’aider d’un schéma.

b.  Calculer le grossissement maximal de cette lunette astronomique.

3.  Calculer l’angle maximal θ’ sous lequel est vue l’image de l’étoile double Albireo à travers cette lunette afocale.

4.  Peut-on distinguer les deux étoiles d’Albireo ?

-  Donnée : 1 degré d’arc est égal à 3600 secondes d’arc.

 

 

L’étoile Albireo :

 

1.  Expression, en radian, l’angle θ sous lequel l’étoile double Albireo est vue à l’œil nu.

-  Ces deux étoiles sont vues à l’œil nu, depuis la Terre sous un angle de 34 secondes d’arc :

-  Tableau 01 :

Degré d’arc

Seconde d’arc

1 °

3600 ‘’

θ (°)

34 ‘’

-   

-  Tableau 02

Degré d’arc

radian

180

π

θ (°)

θ (rad)

-   

2.   :

a.  Expression du grossissement d’une lunette afocale.

-  Schéma  :

 

-  Le grossissement d’une lunette est le rapport entre :

-  L’angle θ sous lequel l’objet est vu à l’œil nu et

-  L’angle θ’ son image est vue à travers la lunette.

-  Ainsi l’objet éloigné (B ∞) est vu sous l’angle θ et l’image AB’ est vue sous l’angle θ’.

-  Le grossissement G d’une lunette est donné par la relation suivante :

 

G

Grossissement : nombre sans unité

θ

L’angle θ’ son image est vue à travers la lunette

θ

L’angle θ sous lequel l’objet est vu à l’œil nu

Il faut exprimer θ’ et θ dans la même unité d’angle (° ou rad)

-  Considérons le triangle O1A1B1 rectangle en A1 :

 

-   

-  Comme θ est petit en radian, on peut faire l’approximation des petits angles :

-   

-  Considérons le triangle O2A1B1 rectangle en A1 :

 

-   

-  Comme θ’ est petit en radian, on peut faire l’approximation des petits angles :

- 

-  Grossissement de la lunette afocale :

- 

b.  Grossissement maximal de cette lunette astronomique.

-  La lunette astronomique afocale possède deux oculaires :

-  f2 = 10 mm ou f2 = 25 mm

-  Comme dans l’expression du grossissement G, la grandeur intervient f2 au dénominateur,

il faut prendre la plus petite des deux valeurs pour avoir le grossissement maximal :

-   

3.  Angle maximal θ’ sous lequel est vue l’image de l’étoile double Albireo à travers cette lunette afocale.

-   

-  Application numérique :

-   

4.  Observation des deux étoiles d’Albireo :

-  Le pouvoir séparateur de l’œil est l’angle minimal ε sous lequel deux points lumineux peuvent être vus séparés.

-  Pour un œil humain normal, ε =3,0 × 10–4 rad.

-  Or θ’ ≈1,2 × 10–2 rad > ε

-  L’étoile double est observée comme deux points distincts à travers la lunette astronomique afocale

avec l’oculaire f2 = 10 mm.

-  Albireo (Blogs)

-  Observation avec Stellarium :

 

  Pouvoir séparateur de l’œil :

-  Définition : on appelle pouvoir séparateur de l’œil, l ‘angle limite sous lequel 2 points lumineux peuvent être séparés.

-  Le pouvoir séparateur d’un œil normal est de l’ordre d’une minute d’angle soit 3,0 × 10–4 rad.

-  Remarque : la rétine a une structure granulaire.

-  Elle est formée de cônes et de bâtonnets.

-  Pour que la rétine puisse séparer les images de deux points lumineux, il faut que la lumière des deux images excite des

cellules séparées par au moins une cellule non excitée (diamètre d’une cellule : ϕ = 2,5 μm.

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9)- Exercice :

 

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10)- Exercice :