Chap. N° 09 Forcer l'évolution d'un système chimique.

Chap. N° 09

 

Forcer l'évolution d'un système chimique
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Exercices 2024


 
 
sciences physiques sur le web

 

I- La transformation forcée.

1)- Évolution spontanée d’un système.

a)-  Expérience 1 :

b)-  Interprétation.

c)-  Expérience 2 :

2)- Transformation forcée.

a)-  Expérience :

b)-  Interprétation :

c)-  Conclusion.

II- Le fonctionnement d’un électrolyseur : étude quantitative.

1)- Quantité d’électricité mise en jeu lors d’un électrolyse.

2)- Application.

III- Conversion et stockage de l’énergie.

1)- Définitions.

2)- Exemple : l'accumulateur Fer-Zinc :

3)- Les organismes chlorophylliens :

IV- Applications.

1)-électrolyse d’une solution aqueuse de nitrate de plomb II.

2)- QCM.

QCM réalisé avec le logiciel Questy

Pour s'auto-évaluer

Forcer l’évolution d’un système chimique

La transformation forcée

Le fonctionnement d’un électrolyseur

La conversion et le stockage de l’énergie

Sous forme de tableau

3)- Exercices :

  DS 

 

Exercices :

Préparation à l’ECE : Cuve à électrodéposition

DS

1)- Exercice 05 page 182 :Identifier la réaction électrochimique.

2)- Exercice 07 page 183 : Déterminer une quantité de matière.

3)- Exercice 09 page 183 : Déterminer un type de conversion.

4)- Exercice 12 page 184 : Des couverts en métal argenté.

5)- Exercice 15 page 185 : Nickelage d’une pièce métallique.

6)- DS N° 01 (15 min): Obtention de lithium et de dichlore par électrolyse :

Exercice 17 page 186.

7)- DS N° 02 (30 min) : Obtention du cuivre par électrolyse :  

Exercice 18 page 187.

 


QCM réalisé avec le logiciel Questy

Pour s'auto-évaluer

Forcer l’évolution d’un système chimique

La transformation forcée

Le fonctionnement d’un électrolyseur

La conversion et le stockage de l’énergie

Sous forme de tableau

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I- La transformation forcée.

 

1)- Évolution spontanée d’un système.

a)-  Expérience 1 : Réaction entre une solution aqueuse de dibrome et du cuivre métal.

main Sous la hotte, on verse dans deux tubes à essais A et B, environ 4 mL d’une solution aqueuse de dibrome.

-  Dans le tube A, on ajoute de la tournure de cuivre métallique et on laisse réagir.

-  Puis on ajoute 3 mL de cyclohexane et on agite.

-  Dans le tube B, on ajoute 3 mL de cyclohexane et on agite.

   écrit  Observations :

-  Tube A :

-  Il se produit une réaction entre le dibrome et le cuivre.

-  La solution initialement orange s’éclaircit, puis devient de couleur bleu foncé et la quantité de cuivre métallique diminue.

 expérience 01

-  On remarque que la concentration en dibrome diminue au cours de la réaction et qu’il se forme des ions cuivre II.

 expérience 02

-  La solution de cyclohexane se colore faiblement. Le dibrome pratiquement disparu en fin de réaction.

-  Tube B :

 expérience 03

-  Le dibrome est plus soluble dans le cyclohexane que dans l’eau.

-  L’expérience réalisée dans le tube B permet de mettre en évidence le fait que le dibrome est soluble dans le cyclohexane.

-  Elle montre aussi que la concentration en dibrome a diminuée lors de la réaction entre le dibrome et le cuivre métal.

 haut

b)-  Interprétation.

-  On donne la réaction d’oxydoréduction suivante :

Cu (s) + Br2 (aq)

 dflèche

Cu2+ (aq) + 2 Br (aq)

(1) 

avec K = 1,2 × 1025

 

-  On peut calculer le quotient de la réaction initial du système précédent.

-  quotient de réaction initial 

-  Le système évolue spontanément dans le sens direct de l’équation de la réaction (1) car Q r, i < K.

-  Lorsque le système a fini d’évoluer :

-  quotient de réaction à l'équilibre 

-  La valeur très grande de K >> 10 4  permet de dire que la réaction est quasiment totale et que le taux d’avancement final de la réaction est pratiquement égal à 1.

-  τ ≈ 1

- On peut écrire :

Cu (s) + Br2 (aq)

 

Cu2+ (aq) + 2 Br (aq)

(1) 

avec K = 1,2 × 1025

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c)-  Expérience 2 : Réaction entre une solution aqueuse de bromure de potassium et de sulfate de cuivre I.

main  Dans un tube à essais,

-  On verse :

-  2 mL d’une solution de bromure de potassium et

-  2 mL d’une solution de sulfate de cuivre II

-  de même concentration C = 1,0 mol / L

-  On laisse réagir, puis on ajoute 2 mL de cyclohexane et on agite.

écrit  Observations :

-  On ne remarque aucune évolution.

 

  Questions :

-  Quelle est l’équation de la réaction susceptible de se produire ?

-  Quelle est la valeur de sa constante d’équilibre K’ ?

-  Quelle est la valeur du quotient de réaction initial ?

 

  Réponses :

-  Équation de la réaction :

Cu2+ (aq) + 2 Br (aq)

dflèche

Cu (s) + Br2 (aq)

(1’) 

-  expression de la constante d’équilibre K’.

-  K' 

-  Valeur quotient de réaction initial Qr,i ?

-  Q r,i 

-  Le système évolue spontanément dans le sens direct de l’équation de la réaction (1’)

-  car Q r, i < K.

-  Mais Q r, iK 0.

-  On peut considérer que le système n’évolue pratiquement pas.

-  On n’observe aucune évolution du système.

-  Les quantités de matière mises en jeu sont très faibles.

-  Le taux d’avancement de la réaction est très petit et K << 1.

haut

2)- Transformation forcée.

-  Le but est de fournir de l’énergie à ce système pour voir si on peut le faire évoluer spontanément.

haut

a)-  Expérience : Électrolyse d’une solution aqueuse de bromure de cuivre II.

main  Montage :

 électrolyse

Borne positive

borne plus

Borne négative

 borne moins

 

Le tube en U est rempli d’une solution aqueuse

de bromure de cuivre II de concentration

C = 1,0 mol / L.

 On ferme l’interrupteur K et on augmente la

valeur de la tension UAC.

 Lorsque U AC ≈ 0,82 V, un courant circule et

le phénomène d’électrolyse commence.

 On règle alors la valeur de la tension

AC ≈ 1,5 V environ.

 On laisse débiter pendant plusieurs minutes.

 Observations :

 l’électrode reliée à la borne négative du

générateur se recouvre d’un dépôt

rougeâtre de cuivre.

 L’électrode reliée à la borne positive du

générateur ; apparition d’une coloration orange.

En fin de réaction, on peut ajouter délicatement

du cyclohexane et mélanger avec un agitateur

et remarquer que le cyclohexane prend une

teinte orange caractéristique de la présence

de dibrome Br2 (aq).

-  L’électrode reliée à la borne positive :

borne plus 

-  l’électrode reliée à la borne négative :

borne moins 

 haut

b)-  Interprétation :

-  Le générateur impose le sens du courant dans le circuit.

-  Le courant sort de la borne positive du générateur.

-  Dans les fils conducteurs, les porteurs de charge sont les électrons qui se déplacent dans le sens inverse du courant.

-  Dans la solution aqueuse de bromure de cuivre II,

les ions cuivre II, Cu 2+(aq) se déplacent dans le sens du courant et

les ions bromure, Br (aq) se déplacent dans le sens inverse du sens du courant (sens de déplacement des électrons.

-  Le dépôt rougeâtre qui apparaît à l’électrode reliée à la borne négative du générateur est constitué de cuivre métal. 

-  il se produit la réduction suivante :

-  Cu2+ (aq) +  2 e  → Cu (s)

-  La réduction se produit à la cathode (Électrode négative).

-  Le jaunissement de la solution au niveau de l’électrode reliée à la borne positive est provoqué par la formation de dibrome.

-  Il se produit l’oxydation suivante :

-  2 Br (aq)  →  2 e + Br2 (aq)

-  L’oxydation se produit à l’anode (Électrode positive).

-  L’équation de la réaction qui se produit lors de l’électrolyse est la suivante :

Cu2+ (aq) +  2 e 

Cu (s)

 

2 Br (aq) 

2 e + Br2 (aq)

 

Cu2+ (aq) +  2 Br (aq) 

Cu (s) + Br2 (aq)

(1’)

-  On a vu précédemment que ce système constitué d’ions cuivre II en présence d’ions bromure n’évolue pas.

-  Le générateur fournit l’énergie nécessaire pour faire évoluer le système.

-  C’est lui qui impose le sens de circulation du courant dans le circuit.

-  Il peut le forcer à évoluer.

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c)-  Conclusion.

-  Au cours de la première expérience, on observe l’évolution spontanée d’équation :

Cu (s) + Br2 (aq)

Cu2+ (aq) + 2 Br (aq)

(1) 

-  Lors de l’électrolyse, il se produit la réaction suivante :

Cu2+ (aq) +  2 Br (aq) 

Cu (s) + Br2 (aq)

(1’)

-  Le sens de cette réaction est le sens inverse du sens d’évolution spontanée :

-  C’est une réaction forcée.

-  Elle a lieu grâce à l’énergie électrique fournie par le générateur.

-  Cette réaction forcée, appelée électrolyse, n’a lieu que si le générateur apporte de l’énergie électrique sinon, elle cesse.

-  Pour réaliser cette opération, il faut un électrolyseur.

 

  L’électrolyseur :

-  Un électrolyseur est un récepteur électrique constitué de deux électrodes (tiges conductrices) qui plongent dans une solution appelée électrolyte.

-  Le générateur impose le transfert d’électrons et force une transformation limitée à poursuivre son évolution.

-  L’électrolyse est une réaction endoénergétique (elle consomme de l’énergie).

-  L’électrode à laquelle se produit l’oxydation est appelée anode (reliée à la borne positive du générateur)

-  L’électrode à laquelle se produit la réduction est appelée cathode (reliée à la borne négative du générateur).

-  Schéma simplifié :

 électrolyse

  Remarque :

-  Les termes anode et cathode pour noter les électrodes s’emploient aussi pour les piles.

-    L’anode désigne toujours l’électrode où se produit l’oxydation.

-  À l’anode des électrons sont cédés par la demi-équation électronique produite

-  La cathode désigne toujours l’électrode où se produit la réduction.

-  À la cathode, les électrons sont consommés par la demi-équation électronique produite.

 

  Exemples d’électrolyseurs :

-  Électrolyse d’une solution de sulfate de cuivre II :

électrolyse du sulfate de cuivre 

-  Électrolyse d’une solution aqueuse d’acide sulfurique :

électrolyse d'une solution d'acide sulfurique

 

 

-  Représentation schématique :

Bilan énergétique dans un circuit électrique

 électrolyseur

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II- Le fonctionnement d’un électrolyseur : étude quantitative.

 

1)- Quantité d’électricité mise en jeu lors d’une électrolyse.

-  L’intensité I du courant qui circule dans l’électrolyseur pendant la durée Δt est donnée par la relation suivante :

I = Q / delta (t) 

I

Intensité du courant (A)

Q

Quantité d’électricité mise en jeu (C)

Δt

Durée de fonctionnement de l’électrolyseur (s)

-  La quantité d’électricité Q mise en jeu au cours de l’électrolyse pendant la durée Δt :

Q = n (e) . F

Q

Quantité d’électricité mise en jeu (C)

n (e)

Quantité de matière d’électrons échangés (mol)

F

Constante de Faraday : F = 96500 C . mol–1

-  Constante de Faraday : La valeur absolue de la charge d’une mole d’électrons définit le faraday de symbole F.

-  1 F = |NA . n (e)|

-  Q quantité d’électricité mise en jeu : grandeur positive :  Unité : coulomb (C).

Remarque :

-  Quantité de matière d’électrons échangés :

-  Quantité de matière d’électrons échangés

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2)- Application.

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III- Conversion et stockage de l’énergie.

 

1)- Définitions.

-  Convertisseurs d’énergie :

-  Un convertisseur d’énergie assure la conversion d’une forme d’énergie en une ou plusieurs formes d’énergie.

-  Une pile :

-  Une pile est un convertisseur d’énergie  qui convertit de l’énergie chimique en énergie électrique.

-  Un électrolyseur :

-  Un électrolyseur  est un convertisseur d’énergie  qui convertit de l’énergie électrique en énergie chimique.

-  Un accumulateur électrique :

-  Un accumulateur électrique est un convertisseur d’énergie pouvant se comporter comme une pile ou comme un électrolyseur.

-  La réaction, qui se produit dans une pile, est la réaction opposée à celle qui se produit dans un électrolyseur.

-  Dans les accumulateurs, l’énergie électrique est stockée sous forme d’énergie chimique.

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2)- Exemple : l'accumulateur Fer-Zinc :

-  La pile Fer-Zinc :

 pile fer - zinc

-  Bilan énergétique de la pile :

Bilan énergétique de la pile 

-  Électrolyseur Fer-Zinc :

 Électrolyseur Fer-Zinc

-  Bilan énergétique d’un électrolyseur.

 Bilan énergétique d’un électrolyseur

 

-  Dans une pile ou un électrolyseur, une partie de l’énergie est dissipée sous forme de transfert thermique (effet joule).

-  Ce phénomène diminue le rendement de ces convertisseurs.

-  Cas de la cellule photovoltaïque :

 cellule photovoltaïque

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3)- Les organismes chlorophylliens :

-  Le système chimique des organismes chlorophylliens constitué de glucose, de dioxygène, de dioxyde de carbone et d’eau évolue spontanément, la nuit, dans le sens direct :

Sens direct →

C6H12O6 (aq) + 6 O2 (g)

dflèche 

6 CO2 (g)  + 6 H2O (ℓ)

← Sens inverse (Photosynthèse)

-  L’énergie apportée par la lumière du jour force le système chimique à évoluer dans le sens opposé de l’équation : c’est la photosynthèse.

photosynthèse

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IV- Applications.

 

1)- électrolyse d’une solution aqueuse de nitrate de plomb II.

Un chimiste effectue l’électrolyse d’une solution aqueuse de nitrate de plomb II :

-  (Pb2+ (aq) + 2 NO3 (aq) ).

Les électrodes utilisées sont inattaquables et les ions nitrate ne réagissent pas.

électrolyse nitrate de plomb II 

1.  Il se forme un dépôt de plomb sur une électrode. Laquelle ?

2.  Écrire l’équation de la réaction correspondant à ce dépôt.

3.  Sur l’autre électrode, se dégage un gaz qui ravive une allumette incandescente.

-  De quel gaz s’agit-il ? sur quelle électrode se forme-t-il ?

4.  Écrire l’équation de la réaction correspondante à ce dégagement.

5.  En déduire l’équation globale ayant lieu lors de cette électrolyse.

6.  L’électrolyse dure 25 min et l’intensité du courant est maintenue égale à 0,85 A.

a.  Quelle est la quantité de matière (en mol) de plomb déposé sur l’une des électrodes ?

b.  En déduire la masse de plomb déposé.

c.  Déterminer le volume de gaz qui s’est formé sur l’autre électrode.

-  Données :

-  Volume molaire des gaz dans les conditions de l’expérience :

-  Vm = 25 L / mol.

-  Masse molaire atomique :

-  M(Pb) = 207 g / mol.

 

Solution.

 

1.  Électrode :

-  Électrode 1 :

-  Le dépôt de plomb se forme sur l’électrode reliée à la borne négative du générateur :

-  La cathode.

2.  Équation de la réaction correspondant à ce dépôt.

-  Il s’agit d’une réduction : la réduction des ions plomb II.

Pb2+ (aq) +  2 e

Pb (s)

Cathode

3.  Dégagement gazeux qui ravive une allumette incandescente.

-  Électrode 2 :

-  Le gaz qui ravive l’incandescence d’une allumette est le dioxygène O 2.

-  Il se forme à l’anode, électrode reliée à la borne positive du générateur.

4.  Équation de la réaction correspondante à ce dégagement.

2 H2O (ℓ)

O2 (g) + 4 H+ (aq) + 4 e

Anode

-  Il s’agit d’une oxydation :

-  L’oxydation de l’eau.

-  Elle se produit à l’anode

5.  Équation globale ayant lieu lors de cette électrolyse.

(Pb2+ (aq) +  2 e

Pb (s) )

× 2

2 H2O (ℓ)

O2 (g) + 4 H+ (aq) + 4 e

 

2 Pb2+ (aq) +  2 H2O (ℓ)

2 Pb (s) + O2 (g) + 4 H+ (aq)

 

6.  Étude quantitative de l’électrolyse :

-  L’électrolyse dure Δt =  25 min et l’intensité du courant I = 0,85 A

a.  Quantité de matière (en mol) de plomb déposé sur l’une des électrodes :

-  Quantité de matière d’électrons échangés :

-  relation 

-  Pour connaître la quantité de matière de plomb déposé, il faut utiliser

   la demi-équation électronique faisant intervenir les électrons :

Équation

Pb2+ (aq)

+  2 e

Pb (s)

Quantité

de matière

n (Pb2+)

n (e)

 

n (Pb)

Coefficient

stœchiométrique

1

2

 

1

-  Relation :

-  relation 

-  On tire :

-  relation 

-  Application numérique :

-  n (Pb) = 6,6 E-3 mol 

b.  Masse de plomb déposé.

-  m (Pb) = n (Pb) . M (Pb)

-  m (Pb) ≈ 6,6 × 10–3 × 207

-  m (Pb) ≈ 1,36 g

-  m (Pb) ≈ 1,4 g

c.  Volume de gaz qui s’est formé sur l’autre électrode.

-  Équation de la réaction :

Équation

2 Pb2+ (aq)

2 H2O (ℓ)

2 Pb (s)

+ O2 (aq)

+ 4 H+ (aq)

Quantité

de matière

 

 

 

n (Pb)

n (O2)

 

Coefficient

stœchiométrique

2

2

 

2

1

4

-  Volume de dioxygène obtenu :

-   V (O2) = 83 mL

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2)- QCM.

QCM réalisé avec le logiciel Questy

Pour s'auto-évaluer

Forcer l’évolution d’un système chimique

La transformation forcée

Le fonctionnement d’un électrolyseur

La conversion et le stockage de l’énergie

Sous forme de tableau

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3)- Exercices.

Exercices :

Préparation à l’ECE : Cuve à électrodéposition

DS

1)- Exercice 05 page 182 :Identifier la réaction électrochimique.

2)- Exercice 07 page 183 : Déterminer une quantité de matière.

3)- Exercice 09 page 183 : Déterminer un type de conversion.

4)- Exercice 12 page 184 : Des couverts en métal argenté.

5)- Exercice 15 page 185 : Nickelage d’une pièce métallique.

6)-  DS N° 01 (15 min): Obtention de lithium et de dichlore par électrolyse :

Exercice 17 page 186.

7)- DS N° 02 (30 min) : Obtention du cuivre par électrolyse :  

Exercice 18 page 187.

 

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