Exercices :
énoncé avec correction
a)-
Exercice 7 page 146. Reconnaître des réactions nucléaires provoquées.
b)-
Exercice 10 page 146. Savoir calculer une activité.
c)-
Exercice 11 page 146. Utiliser les lois de conservation.
d)-
Exercice 13 page 146. Écrire une équation de réaction nucléaire.
e)-
Exercice 14 page 146. Écrire une équation de réaction de fusion.
f)-
Exercice 15 page 146. Écrire une équation de réaction de fission.
g)-
Exercice 18 page 147. Histoire et radioactivité.
h)-
Exercice 20 page 147. De la masse à l’énergie.
i)-
Exercice 21 page 147. Lois de conservation.
j)-
Exercice 24 page 148. Quelle énergie !
k)-
Exercice 30 page 150. L’énergie de liaison des noyaux.
|
La radioactivité a été découverte par
Henri Becquerel
en 1896 (1852 – 1908).
Il découvre la radioactivité de l’uranium
au cours de travaux sur la phosphorescence.
Les travaux sont poursuivis par Pierre
et Marie Curie.
En 1898, ils découvrent la radioactivité du
polonium Polonium 210 et du radium Radium 226.
En 1903 : prix Nobel de physique (Henri
Becquerel
avec Pierre et Marie
Curie).
On connaît actuellement, une cinquantaine
de nucléides naturels radioactifs et environ 1200 nucléides
artificiels radioactifs.
a)-
Stabilité du noyau et radioactivité.
-
La cohésion du noyau est due à l’existence d’une
interaction forte, attractive qui unit l’ensemble des nucléons
et qui prédomine devant l’interaction électrique (répulsion
entre les protons).
-
Il y a antagonisme entre l’interaction forte et la
répulsion des protons.
-
Dans certains cas la cohésion n’est pas suffisante, on
dit que les noyaux sont instables.
-
Ils se désintègrent spontanément, on dit qu’ils sont
radioactifs. Ce sont des radionucléides.
b)-
Désintégration radioactive.
-
Une source radioactive peut émettre :
-
Des particules
-
Un rayonnement γ.
-
Les particules émises sont de trois types : les
particules α, β+et β–.
►
Les particules α (alpha).
-
Ce sont des particules positives, des noyaux d’hélium
dont l’écriture symbolique : ion He2+.
-
Ces particules sont éjectées à grande vitesse v ≈
2
x 107 m / s. Ce ne sont pas des particules
relativistes.
-
Les particules sont directement ionisantes mais peu
pénétrantes.
-
Elles sont arrêtées par une feuille de papier et par une
épaisseur de quelques centimètres d’air.
-
elles
pénètrent la peau sur une épaisseur de l’ordre de quelques
micromètres.
-
Elles ne sont pas dangereuses pour la peau.
- Par contre,
elles sont dangereuses par absorption interne : inhalation,
ingestion.
►
Les particules β
(bêta).
-
On distingue :
-
Les particules β– qui sont des
électrons :
-
Masse : me = 9,1
x 10 – 31 kg
-
Charge : - e = – 1,60
x 10– 19 C.
-
Les particules β+ qui sont des positons
(antiparticule de l’électron).
-
Masse : me = 9,1 x 10 – 31
kg
-
Charge : e = 1,60 x 10 – 19 C.
-
Les particules sont émises à grande vitesse v ≈
2,8
x 10 8 m / s.
-
Ce sont des particules relativistes (leur vitesse est
voisine de celle de la lumière).
-
Elles sont plus pénétrantes mais moins ionisantes que les
particules α.
-
Elles sont arrêtées par un écran de Plexiglas ou par une
plaque d’aluminium de quelques centimètres.
-
Elles pénètrent la peau sur une épaisseur de quelques
millimètres.
-
Elles sont dangereuses pour la peau.
►
Le rayonnement γ (gamma).
-
Il accompagne l’émission de particules α, β+et
β–.
-
Il est constitué d’une
onde électromagnétique de très courte longueur d’onde (λ
≈ 10 – 12 m et ν ≈ 10
20 Hz).
-
Le rayonnement est
constitué de photons qui se déplacent à la vitesse de la lumière
et dont la masse est nulle.
-
Ils ne sont pas
directement ionisants, mais ils sont très pénétrants.
-
Ils peuvent traverser
jusqu’à 20 cm de plomb.
-
Par interaction avec
les atomes des substances traversées, ils peuvent donner
naissance à des électrons qui eux sont ionisants.
Conclusion :
-
Au cours d’une désintégration radioactive, un noyau
père se désintègre spontanément en émettant :
-
Un noyau fils,
-
Une particule, α, β+ou
β–,
-
Et un rayonnement électromagnétique γ.
c)-
Diagramme de stabilité.
-
L’ensemble des noyaux stables (en rouge) forme sur la
représentation graphique la vallée de stabilité.
-
Les noyaux légers stables ont une tendance à la symétrie.
-
Ils se répartissent au voisinage de la première
bissectrice (N = Z autant de protons que de
neutrons).
-
Les noyaux lourds stables s’écartent de la bissectrice.
Ils ont plus de neutrons que de protons.
-
Pour les noyaux instables :
-
En bout de la vallée de stabilité, ils se désintègrent en
émettant des particules alpha : ils sont radioactifs alpha.
-
Au-dessus de la vallée de stabilité, ils sont émetteur
β–.
Au-dessous du domaine de stabilité, ils sont émetteurs
β+.
►
Tableau réduit :
d)-
Activité d’un échantillon radioactif.
-
L’activité A d’un échantillon radioactif à la date
t est le nombre de désintégrations par seconde de cet
échantillon.
-
L’activité A d’un échantillon radioactif diminue au cours
du temps.
- Cette diminution est caractéristique du noyau
radioactif présent dans l’échantillon.
-
L’unité d’activité est le Becquerel Bq en hommage à Henri
Becquerel.
-
1 Bq = 1 désintégration par seconde.
-
L’activité d’un échantillon radioactif se mesure à l’aide
d’un compteur Geiger.
-
Ordre de grandeur des activités :
-
L’eau de mer a une activité de l’ordre de 10 Bq par
litre.
-
Le Radon, présent dans l’air, à l’état de trace, a une
activité de quelques centaines de Bq.
-
Le corps humain est radioactif. La radioactivité
naturelle d’un homme est d’environ 100 Bq / kg.
-
Pour un homme de 60 kg, elle est environ de 6000 Bq.
-
Les sources radioactives, utilisées au laboratoire, ont
une activité comprise entre 4
x 104 Bq et 4 x 107 Bq.
-
L’activité d’un gramme de radium est supérieure à 1010
Bq.
-
Le becquerel est une toute petite unité de radioactivité.
-
On utilise aussi le curie comme unité de radioactivité :
1 Ci = 3,7 x 10 10 Bq.
-
L’activité du Césium 137 est de l’ordre de 3 x 10 5
Bq.
►
Activité de quelques objets.
Sources
radioactives
|
Eau
minérale
|
Lait
|
Corps
humain
|
Poisson
|
Engrais
phosphaté
|
Granite
|
Plutonium
|
masse
|
1,0 kg
|
1,0 kg
|
60 kg
|
1 kg
|
1 kg
|
1 kg
|
1 kg
|
Activité
|
10 Bq
|
240 Bq
|
6000 Bq
|
100 Bq
|
2000 Bq
|
8000 Bq
|
2
x 1012 Bq
|
►
Un extrait de texte à méditer :
-
La Pomme et l’atome (Douze histoires de physique
contemporaine) Sébastien BALIBAR édition Odile Jacob Sciences.
-
Extrait :
«
«
»
a)-
Historique.
-
La radioactivité artificielle fut mise en évidence en
1934 par Irène et Frédéric
Joliot– Curie.
-
Ils ont créé par réaction nucléaire un isotope radioactif
du phosphore.
-
Ils bombardent une feuille d’aluminium avec des
particules α produites par du polonium 210.
-
Ils ont réalisé une transmutation (α, n)
produisant du phosphore 30 radioactif.
-
Le phosphore 30 obtenu est émetteur β+.
b)-
La fission de noyaux lourds.
-
La réaction de fission est une réaction nucléaire
provoquée.
-
Au cours d’une fission nucléaire, un neutron lent
(neutron thermique) brise un noyau lourd fissile en deux noyaux
légers.
-
Cette réaction libère de l’énergie.
-
Les noyaux lourds fissiles utilisés sont l’uranium 235 et
le plutonium 239.
-
Un neutron lent que l’on appelle aussi neutron thermique
a une énergie cinétique : EC < 0,10 eV.
-
Remarque : Les noyaux formés par fission sont
généralement radioactifs.
-
Il existe un très grand nombre de fissions différentes.
-
La réaction nucléaire produit de la chaleur.
- Dans une
centrale nucléaire, l’énergie thermique est transportée par le
fluide caloporteur à travers le circuit primaire.
- Cette
énergie thermique est ensuite transformée en énergie électrique
par un alternateur.
c)-
La fusion de noyaux légers.
-
Au cours d’une fusion nucléaire, deux noyaux légers
s’unissent pour former un noyau lourd.
-
C’est une réaction nucléaire provoquée qui libère de
l’énergie.
-
Des particules et un rayonnement électromagnétique γ
sont émis.
-
La fusion contrôlée est réalisée dans des appareils
appelés TOKAMAKS (russe tok qui veut dire courant
et mak pour magnétisme).
-
Il faut porter la matière à une température de l’ordre
de107 K et donner une énergie cinétique aux
particules EC
≈ 0,10 MeV.
-
Dans ces conditions, la matière est à l’état plasma
(quatrième état de la matière ; noyaux et électrons ne sont plus
liés entre eux).
-
Le problème est d’arriver à réaliser le confinement du
plasma pendant une durée d’une seconde environ.
-
De nombreux laboratoires étudient la fusion de deux
isotopes de l’hydrogène, le deutérium
et le tritium
.
-
Exemples : Projet ITER, Laser Mégajoule,…
-
Toutes les réactions nucléaires vérifient les lois de
conservation suivantes :
-
Conservation de la charge électrique.
-
Conservation du nombre total de nucléons.
-
Conservation de la quantité de mouvement.
-
Conservation de l’énergie.
-
Lois de Soddy :
-
Conservation du nombre de masse :
A = A’ + a
-
Conservation de la charge :
Z = Z’ + z
-
Remarque :
-
Lors d’une réaction nucléaire, il n’y a pas conservation
des éléments chimiques.
-
Dans les équations de réactions nucléaires, on écrit
uniquement les particules possédant une charge ou une masse.
- Les
rayonnements gamma n’apparaissent pas.
a)-
Cas d’une réaction spontanée :
►
Radioactivité α :
-
Un noyau lourd instable éjecte une particule α
(noyau d'hélium
) et
donne un noyau fils plus léger, généralement dans un état excité
-
Exercice 01 : L’uranium 238 est émetteur
a.
Écrire l’équation de la réaction.
►
Radioactivité β– :
-
Cette radioactivité se manifeste lorsque le noyau
présente un excès de neutrons.
- Au cours de la désintégration, il
y a émission d’un électron noté :
-
Exercice 02 : le césium 137 est émetteur
β–. Écrire l’équation de la réaction.
►
Radioactivité β+ :
-
Cette radioactivité se manifeste lorsque le noyau d’un
atome possède trop de protons.
-
Au cours de la désintégration, il y a émission d’un
positon noté .
-
Exercice : l’oxygène 14 est émetteur
β+. Écrire l’équation de la réaction.
-
Le noyau père possède trop protons :
-
b)-
Cas d’une réaction provoquée : fission.
-
Exemple :
-
Une fission possible de l’uranium 235, sous l’impact d’un
neutron lent, produit les noyaux
,
et
k
neutrons.
-
Écrire l’équation de la réaction. En déduire les valeurs
de Z1 et k.
-
Réponse :
-
remarque :
cette réaction fournit plus de neutrons qu’elle n’en consomme.
c)-
Cas d’une réaction provoquée : fusion.
-
Au cours d’une fusion nucléaire, deux noyaux légers
s’unissent pour former un noyau lourd.
- C’est une réaction
nucléaire provoquée qui libère de l’énergie.
-
Exemple : fusion d’un noyau de deutérium et d’un noyau de
tritium.
►
Application :
-
L’énergie libérée par fusion nucléaire, appelée énergie
thermonucléaire, est à l’origine du rayonnement des étoiles et
du Soleil.
-
Selon Bethe
et Critchfield
(1938) l’une des hypothèses possible pour expliquer l’énergie
fournie par le Soleil est d’envisager la succession suivante de
réactions nucléaires :
-
(1)
-
(2)
-
(3)
-
(4)
-
(5)
-
x, y, z, w
représentent des nucléides.
-
Quelles sont les lois utilisées pour équilibrer les
réactions nucléaires ? Les équilibrer.
-
Montrer que l’on peut remplacer l’ensemble des réactions
(1), (2), (3), (4) et (5) par la réaction suivante :
-
Nommer et définir ce type de réaction.
-
Réponses :
-
Lois utilisées : conservation du nombre de nucléons et
conservation de la charge globale.
-
réaction
globale :
-
-
Il s’agit d’une réaction de fusion nucléaire.
-
Des noyaux légers s’unissent et constituent un noyau
lourd.
Classification
périodique :
-
Dans la théorie de la relativité restreinte, en 1905,
Einstein a montré
que la masse est une forme d’énergie.
-
Toute particule de masse
m, au repos, possède
une énergie :
-
-
c est une constante universelle, on prend pour
valeur celle de la vitesse de la lumière dans le vide :
-
c = 299792458 m / s.
-
Pour les calculs, on peut prendre la valeur approchée :
c = 3,00
x 10 8 m / s.
-
Le Joule est une unité d’énergie mal adaptée à l’échelle
microscopique.
-
A cette échelle, on préfère utiliser l’électron-volt
(eV) ou le mégaélectronvolt (MeV)
-
Correspondance :
-
1 eV = 1,602189
x 10
–19
J ou 1 MeV = 1,602189
x 10
–13
J
-
Remarque : le produit d’une charge par une tension est
homogène à une énergie.
-
Lors d’une réaction nucléaire, la masse des produits
obtenus est inférieure à la masse des réactifs.
-
La masse manquante est appelée : perte de masse : on la
note |Δm|
-
Elle a pour expression :
-
|Δm| = |m (produits) – m
(réactifs)|
-
L’énergie libérée par le système a pour expression :
-
Elibérée = |Δm| . c2
= |m (produits) – m (réactifs)|
. c2
-
Unités :
-
L’énergie s’exprime en joule (J)
-
La perte de masse |Δm| s’exprime en kilogramme
(kg)
-
La vitesse de la lumière c s’exprime en m / s.
-
c = 299792458 m / s.
-
La cohésion d’un noyau est due aux interactions fortes
entre les nucléons.
-
Pour briser un noyau, le milieu extérieur doit fournir de
l’énergie.
-
L’énergie de liaison Eℓ
d’un noyau
est l’énergie
libérée lors de la formation du noyau à partir des nucléons au
repos :
-
Puisque la masse du système diminue, le système libère de
l’énergie.
-
C’est cette énergie que l’on appelle l’énergie de
liaison.
-
Eℓ = |Δm| . c2
-
-
Avec : |Δm| = |mX – [Z .
mp + (A – Z) . mn]|
-
Au cours d’une fusion nucléaire, deux noyaux légers le
deutérium et le tritium s’unissent pour former une particule
alpha et un neutron.
- C’est une réaction nucléaire provoquée qui
libère de l’énergie.
-
Écrire l’équation de la réaction.
-
Calculer la valeur de la masse des réactifs : m
(réactifs).
-
Calculer la valeur de la masse des produits : m
(produits).
-
En déduire la valeur du défaut de masse : |Δm|.
-
Calculer la valeur de l’énergie libérée Elibérée
lors de cette réaction.
-
On fait réagir un mélange de deutérium et de tritium
solidifié de masse m = 300 μg.
-
Sachant que le mélange est équimolaire, montrer que le
nombre de noyaux N de deutérium (ou de tritium) présents
est N = 3,59 ´
1019.
-
En déduire l’énergie totale Etot
produite par la réaction de fusion.
-
On donne m () = 3,34358
x 10–
27 kg ; m
() = 5,00736
x 10–
27 kg
-
m () = 1,67493
x 10–
27 kg ; m
() = 6,64466
x 10–
27 kg
-
c = 299792458 m / s
-
NA = 6,062
x 1023 mol–1
►
Réponses :
-
Équation de la réaction :
-
Valeur de la masse des réactifs :
-
m (réactifs) = m () +
m ()
-
m (réactifs) ≈ 3,34358
x 10–
27 +
5,00736
x 10–
27
-
m (réactifs) ≈ 8,35094
x 10–
27 kg
-
Valeur de la masse des produits :
-
m (produits) = m () + m ()
-
m (produits) ≈ 6,64466
x 10–
27 +
1,67493
x 10–
27
-
m (produits) ≈ 8,31959
x 10
– 27 kg
-
Valeur du défaut de masse :
-
|Δm| = |m (produits) – m
(réactifs)| ≈ |8,31959
x 10–
27 –
8,35094
x 10–
27 |
-
|Δm| ≈ 3,135
x 10–
29 kg
-
Valeur de l’énergie libérée Elibérée
lors de cette réaction :
-
Elibérée = |Δm| . c2
= |m (produits) – m (réactifs)|
. c2
-
Elibérée ≈ 3,135
x 10–
29 x
(299792458)2
-
Elibérée ≈2,818
x 10–
12 J
-
Nombre de noyaux N de deutérium (ou de tritium)
présents :
-
-
-
Énergie totale Etot produite par la
réaction de fusion :
-
Etot = N . |ΔE|
-
Etot ≈ 3,59
x 1019
x 2,818
x 10–
12
-
Etot ≈ 1,01
x 108 J
Type de
réaction
|
Fusion
|
Fission
|
Désintégration
alpha
|
Combustion
du
pétrole
|
Combustion
du
charbon
|
Masse
|
1,0 g
d’hydrogène
fusionné
|
1,0 g
d’uranium
235
fissionné
|
1,0 g
de radon
désintégré
|
1,0 g
de
pétrole
brûlé
|
1,0 g
de
charbon
brûlé
|
Énergie libérée
en joule (J)
|
3,6
x 1011
|
8,0
x 1010
|
2,0
x 109
|
4,0
x 104
|
2,8
x 104
|
a)-
Exercice 7 page 146. Reconnaître des réactions nucléaires
provoquées.
b)-
Exercice 10 page 146. Savoir calculer une activité.
c)-
Exercice 11 page 146. Utiliser les lois de conservation.
d)-
Exercice 13 page 146. Écrire une équation de réaction
nucléaire.
e)-
Exercice 14 page 146. Écrire une équation de réaction de
fusion.
f)-
Exercice 15 page 146. Écrire une équation de réaction de
fission.
g)-
Exercice 18 page 147. Histoire et radioactivité.
h)-
Exercice 20 page 147. De la masse à l’énergie.
i)-
Exercice 21 page 147. Lois de conservation.
j)-
Exercice 24 page 148. Quelle énergie !
k)-
Exercice 30 page 150. L’énergie de liaison des noyaux.